a confirmé l'interprétation du président, précisant qu'aucune difficulté d'industrialisation n'avait été portée à la connaissance de l'APE avant la réunion du 18 mai 2006.
a insisté sur le fait que la note du 20 janvier 2006 était abordée sous un angle patrimonial, et prenait en compte les contraintes afférentes au pacte d'actionnaires. Il a indiqué, à cet égard, que la réponse du ministre, c'est-à-dire le maintien à un même niveau de la participation de l'Etat, avait été rapide.