a souhaité rectifier les propos de M. Philippe Marini, rapporteur général, en précisant que les opérations de cession n'avaient pas été approuvées par l'Etat et n'avaient pas à l'être. Il a indiqué qu'il était important de mentionner que M. Dominique Marcel, alors directeur financier du groupe CDC, avait expliqué, au cours de cette réunion du 12 juillet 2006, que l'Etat n'avait « à aucun moment demandé à la Caisse des dépôts et consignations de se porter acquéreuse des titres concernés [d'EADS] pour préserver l'équilibre franco-allemand », comme le mentionne le procès-verbal. Il a répété que cette prise de participation supplémentaire par la CDC l'avait placé dans une situation embarrassante au regard du pacte d'actionnaires.