a, de nouveau, déclaré partager l'émotion des salariés et que l'Etat avait eu, à ses yeux, un comportement irréprochable dans un contexte difficile. Il a rappelé avoir plaidé pour qu'EADS dispose des moyens financiers de son développement et que l'Etat s'était dit prêt à accompagner le développement de l'entreprise lors d'une éventuelle augmentation de capital, et avait, de ce fait, tenu un discours très différent de celui d'autres partenaires industriels.