a toutefois affirmé partager l'émotion suscitée par cette question, qu'il jugeait très importante. Il a observé qu'il avait été à l'origine, en juillet 2005, d'une loi qui encadrait le régime des « parachutes dorés » en les soumettant au vote de l'assemblée générale, mais qu'elle n'avait pas pu trouver à s'appliquer au cas d'EADS dans la mesure où cette société était une entreprise de droit néerlandais.