lui a répondu par l'affirmative. Puis après avoir évoqué les tensions sur les prix agricoles mondiaux, il a estimé qu'il existait des interférences entre les domaines alimentaire et non alimentaire, comme le prouvait l'exemple français, où l'équilibre de la filière éthanol reposait sur les co-produits, et donc sur la participation financière des éleveurs. Concernant les OGM, il a rappelé que les essais se développaient en France, et que 50 % d'entre eux portaient sur les betteraves à sucre.