Convenant que la restructuration du groupe Alstom, bien que difficile, avait été indispensable, et que les difficultés qu'il avait rencontrées au Canada constituaient une réelle anomalie à laquelle l'Organisation mondiale du commerce (OMC) devrait remédier, M. Jean-Paul Emorine, président, a dit partager entièrement l'avis de l'intervenant et appelé les élus à réagir pour préserver l'activité de l'entreprise.