Si le réflexe national joue en matière de défense, il faut souligner que Safran réalise plus de 50 % de ses activités de défense à l'exportation et l'industrie française en moyenne 40 %. Notre pays n'est donc pas une île incapable de partenariats internationaux.
Monsieur Reiner, nous sommes prêts à contribuer au débat en insistant sur les programmes structurants à long terme et les pistes d'économie dans les cinq années à venir. Mais, n'en attendez pas trop de nous : pour reprendre la boutade américaine, « il ne faut pas consulter les dindes sur le menu de Thanksgiving » !