Il y a déjà eu un mouvement, même s'il faut l'amplifier. Il existe des poches de productivité et d'économies. L'idée n'est pas très facile à accepter pour les AIA (ateliers industriels de l'aéronautique), mais il n'y a pas de raison d'assurer la maintenance régulière des avions militaires, les grandes visites, autrement que celle des avions civils, même si la maintenance en piste doit être assurée par des militaires. Les statuts du personnel militaire et des ouvriers de l'Etat entraînent des contraintes et des coûts considérables.