Les états-majors y sont favorables, mais cela se heurte à des difficultés insoupçonnées. La gendarmerie envisage de nous louer des blindés pour aller en Côte-d'Ivoire ou en Géorgie ; or un blindé est une arme de catégorie 2 et une société de leasing ne peut en posséder, de sorte que les banquiers ne peuvent assurer le financement en d'une opération de leasing de matériel de guerre. Il faudrait assouplir une réglementation qui date de Napoléon III car, en restreignant l'offre à l'État ou au fabricant, on nous limite à notre seule capacité financière.