La législation y est très différente, s'agissant des armes. Voilà en tout cas des sujets sur lesquels l'état-major est très désireux de transformer de l'investissement en coûts de fonctionnement. Nous ne sommes pas hostiles à des formules de location car cela permettrait de mutualiser les efforts. Tous les pays n'étant pas engagés en même temps en Afghanistan ou au Kosovo, ils pourraient alléger les coûts tout en disposant immédiatement du matériel. Nous avons présenté des offres à la Namsa.