Evoquant la désaffection généralisée pour la profession arbitrale, M. Alain Dufaut a considéré qu'elle était plus forte chez les arbitres amateurs, leur activité étant assimilable à du bénévolat.
Il a estimé urgent de prendre les mesures nécessaires au renforcement de la sécurité des arbitres et à la valorisation de leur statut. Il s'est interrogé, en outre, sur la possibilité de coordonner la pratique arbitrale au niveau international.