a rappelé que la décision de renforcer le contingent français en Afghanistan avait été annoncée au sommet de l'OTAN, à Bucarest en 2008. Depuis cette date, il n'y a pas eu de renforts, à l'exception, après l'embuscade du mois d'août 2008, d'un accroissement des moyens qui faisaient défaut, de l'avis unanime, en matière de renseignement. Il s'est agi d'environ 300 hommes représentant les équipes, des hélicoptères, des drones et du pilotage technique du renseignement.