s'est félicité de ces propositions. Il a précisé que la CNIL n'avait aucun parti pris à l'égard de la vidéosurveillance.
S'agissant de la mission de contrôle, il a estimé que les commissions départementales n'étaient pas formées à cela, à l'inverse de la CNIL qui dispose de contrôleurs professionnels.
Evoquant les développements liés à la biométrie, il a observé que cette technologie permettrait d'identifier des individus en plus de les observer. Incidemment, il a alerté la commission sur le fait que les aéroports, et probablement les gares dans un proche avenir, seront des lieux complètement surveillés, les voyageurs y étant mis à nu aux sens propre comme figuré du fait de l'addition de mesures de sécurité très intrusives : « bodyscanning », collecte des données PNR (« Passenger Name Record »), insertion d'une puce RFID (« Radio Frequency Identification ») dans les billets d'avion, passeports biométriques, vidéosurveillance...