a regretté que le projet de loi n'apporte pas de réponses à la hauteur du défi de la prise en charge des troubles mentaux en prison, près de 30 % des détenus en souffrant.
De la même façon, il a estimé que les dispositions relatives aux mineurs pourraient être complétées.
Il a ensuite constaté l'insuffisance de l'offre de travail, ainsi que le flou des critères d'attribution.
Enfin, il a demandé si les projets de décret pourraient être communiqués avant l'examen du texte.