En réponse, M. Thierry Breton a considéré qu'il n'existait pas de vision européenne en matière d'énergie, et que c'était pour cette raison que la France avait publié un mémorandum sur le sujet. Il a considéré que l'essentiel était que l'Europe permette à ses entreprises d'atteindre des tailles suffisantes pour faire face à la concurrence d'entreprises de pays tiers. Il a indiqué qu'il y aurait un débat sur l'énergie au Parlement, du fait de la nécessité de modifier la loi n° 2004-803 du 9 août 2004 précitée.