a considéré que les négociations sur les perspectives financières 2007-2013 de l'Union européenne ne pourraient aboutir à un résultat satisfaisant si les Etats membres ne retrouvaient pas le sens de l'intérêt commun et a souhaité que la France prenne une initiative en ce sens. Il a considéré que la contribution nette de la France devait être réduite, que le rabais accordé au Royaume-Uni devait être supprimé, et qu'il n'était pas possible de continuer avec un budget dont les recettes étaient votées par les Parlements nationaux et les dépenses votées par le Parlement européen.