a précisé que le FISAC présentait la double particularité, d'une part, de ne pas être organisé comme un dispositif créant automatiquement des droits pour des bénéficiaires dès lors qu'ils rempliraient un certain nombre de critères, d'autre part de devoir gérer des crédits relativement limités. Il a fait valoir que dès lors, un dispositif centralisé était le plus à même d'assurer une politique active et cohérente sur l'ensemble du territoire national, ajoutant qu'en cas de décentralisation, déterminer des enveloppes idoines pour chaque région serait un exercice très ardu. En outre, remarquant que, rapportées à un niveau régional, ces enveloppes seraient très modiques, il a douté du maintien, par chaque région et dans ces conditions, d'une politique d'aide au commerce local.