a rappelé que l'enquête de la Cour des comptes avait été conduite, en application de l'article 58-2 de la LOLF, sur la base de la saisine de la Cour des comptes par la commission des finances du Sénat et des échanges informels qui ont suivi pour en préciser le champ. Il a indiqué que le FISAC « national » en faisait partie.
Puis il a souligné, s'exprimant sur la question des indicateurs, que leur interprétation n'était pas chose aisée. Il a estimé que leurs résultats pouvaient, par nature, être biaisés par un phénomène « d'effet d'aubaine ». Il a expliqué que, dans l'esprit de la Cour des comptes, la réelle valeur ajoutée de l'administration centrale devait se situer principalement au niveau du contrôle et du suivi des résultats de dispositifs tels que le FISAC.