a souligné que le taux d'intervention du FISAC dans les zones urbaines sensibles pouvait atteindre 80 % des dépenses de fonctionnement et 50 % des dépenses d'investissement. Il a ensuite déclaré que, depuis 2003, le FISAC peut financer les dépenses de sécurité des entreprises. Enfin, il a insisté sur le rôle spécifique de l'Établissement public national d'aménagement et de restructuration des espaces commerciaux et artisanaux (EPARECA), dont le nombre d'opérations devrait doubler dans les 3 années à venir.