a indiqué que, à son sens, la présence du Gouvernement en commission doit être entendue comme visant le ministre lui-même et non son cabinet. A titre personnel, elle s'est déclarée non hostile à la présence du Gouvernement au moment des votes en commission, considérant que cela ne présente pas de différence réelle avec sa présence lors des votes en séance, et plutôt favorable à la tenue publique des réunions de commission. Enfin, elle a constaté que la répartition des différents types de réunions internes au Sénat sur les cinq jours de la semaine risque de constituer un handicap pour les élus non franciliens. Le problème sera d'ailleurs le même pour la réouverture des délais d'amendement, et surtout pour les élus ultra-marins.