a craint que le texte du projet de loi suscite un contentieux abondant. Constatant que l'activité principale des bureaux de poste est désormais de proposer des services financiers, et non plus d'assurer la distribution du courrier, il s'est opposé au renforcement des pouvoirs de l'ARCEP, s'agissant de l'évaluation du coût du maillage territorial.