a souligné que l'autorité de l'Etat afghan semblait singulièrement diluée et que le narcotrafic restait très important dans le pays, y compris au bénéfice de personnes proches du pouvoir. Il s'est interrogé sur la possibilité de voir se constituer un véritable Etat, en soulignant le risque d'une présence longue dans ce pays pour un faible résultat politique. Evoquant le coût très élevé des opérations extérieures, il s'est interrogé sur leurs conséquences sur l'entraînement des forces et l'efficacité des unités qui envoient régulièrement des personnels en opérations. Il a souhaité que soit défini un ordre de priorité entre les différentes opérations auxquelles la France prend part.