a indiqué que la France participait à une cinquantaine d'opérations extérieures, parfois à hauteur de quelques personnels, mais qu'il lui semblait difficile de se retirer des théâtres où notre présence était plus importante, comme en Afghanistan, au Kosovo, au Liban, en Côte d'Ivoire ou au Tchad. Il a souligné le caractère motivant de la participation aux opérations extérieures pour les personnels militaires, tout en reconnaissant qu'elle affectait l'entraînement des unités restées en métropole. Il a considéré que beaucoup restait à faire en Afghanistan, mais que de réels progrès avaient été accomplis par l'armée afghane.