a rappelé que depuis l'adoption de la loi du 2 février 1995 sur le renforcement de la protection de l'environnement, le ministère de la culture avait toujours porté, à juste titre, une attention soutenue aux questions d'urbanisme et en particulier aux problèmes des entrées de ville ; estimant que ces questions étaient au coeur de l'approche qu'avaient les maires en matière de développement durable, il a souhaité que la constitution du « grand ministère » chargé de l'écologie ne dépossède pas le ministère de la culture de ces questions ; évoquant ensuite les « villes et pays d'art et d'histoire », il a souhaité que ce label, attribué par le ministère de la culture, devienne un véritable outil de développement territorial et a recommandé un allègement des procédures actuellement trop lourdes et trop coûteuses qui commandent à son attribution.