a évoqué le problème lié au temps nécessaire pour que les oeuvres rencontrent le public. Rappelant les propos de Malraux comme de Godard sur le double aspect artistique et industriel du cinéma, il a regretté le manque d'audace de certains créateurs et producteurs. Il a rappelé que le cinéma était un « loisir de masse » qui crée du lien social et qui, comme le livre, constitue souvent une porte d'entrée vers la culture.
Il s'est interrogé sur la place qu'occuperait la culture scientifique dans la politique conduite par la ministre. Puis il a demandé des précisions sur la réflexion relative à l'élargissement des missions du Centre national du livre.
a émis des réserves sur la gratuité dans les musées. Si la gratuité peut se justifier pour certains évènements extraordinaires, il a estimé néanmoins qu'elle ne devait pas être systématique dans la mesure d'une part, où la valeur de la culture doit être reconnue par tous -ce que ne favorise pas l'approche induite par la gratuité- et, d'autre part, où l'achat d'un billet d'entrée permet de participer à une dépense collective qui, sinon, devrait être assurée par d'autres voies.