a regretté que la procédure de nomination prévue par la récente loi organique sur la nomination des présidents de l'audiovisuel public conduise les parlementaires non pas à se prononcer sur les compétences des candidats mais à se déterminer par rapport à un choix dont l'exécutif conserve au final la pleine maîtrise. Il a ensuite interrogé le candidat sur le point fort de Radio France sur lequel il pourrait compter et le point faible avec lequel il devrait composer.