a rappelé que sa démarche de candidature s'inscrivait dans une volonté de convaincre les pouvoirs publics sur le long terme, et que, à ce titre, il demeurerait en permanence comptable non seulement auprès d'organismes tels que la direction du développement des médias et le Conseil supérieur de l'audiovisuel mais également auprès des représentants de la nation, notamment quant à l'utilisation que l'entreprise fera des financements publics qui lui sont consentis.
Il a estimé que l'atout principal de Radio France résidait dans les compétences et la qualité de l'engagement éthique de ses personnels. Il a rappelé que, à la différence de la télévision publique, le service public de la radio devait produire 100 % de ses contenus en diffusion directe.
S'agissant des difficultés les plus importantes que l'entreprise devra surmonter, il a estimé que le chantier de réhabilitation constituait un défi coûteux mais majeur.