L'intervention de Catherine Procaccia et de Jean-Louis Lorrain pose un problème de méthode. La position exprimée par la présidente est conforme aux habitudes précédentes. Si l'on devait en changer, cela supposerait un accord politique et je ne crois pas qu'il soit d'actualité. Mettons-nous d'accord entre nous : s'il y a pluralité de candidatures, il y aura nécessairement un vote ; mais si vous estimez qu'il ne doit pas y avoir de vote, c'est qu'il ne doit pas y avoir plusieurs candidatures. Je propose qu'on en revienne à nos méthodes habituelles.