a fait observer que l'EPAD conservait quelques biens immobiliers propres et que le transfert concernait les biens et espaces publics, tels que la dalle ou des passerelles, qui étaient portés au bilan. Elle a indiqué que les perspectives de plus-values futures pour l'EPAD ne pourraient résulter que de la cession de nouveaux droits à construire. Elle a souligné que le transfert des biens à l'établissement public de gestion s'accompagnait du versement par l'EPAD d'un montant de 70 millions d'euros pour des travaux de remise en état.