a estimé que l'établissement public de gestion n'était pas en mesure de dégager d'autres ressources que les recettes de parking et les recettes liées à l'exploitation du domaine, qui ne pourront être accrues, mais dans de faibles proportions, que par un renforcement de l'animation du site et d'opérations évènementielles sur la dalle. Il a considéré qu'une contribution éventuelle de l'EPAD à la couverture du déficit d'exploitation ne serait conforme ni à l'esprit ni à la lettre de la loi du 27 février 2007. Il a, en outre, souligné que l'aménageur, par son activité, aurait naturellement tendance à augmenter les dépenses d'exploitation, rappelant que 450.000 m2 de bureaux supplémentaires avaient déjà été commercialisés dans le cadre du plan de renouveau de la Défense.