a observé que la voie législative avait été incontournable pour remettre l'établissement public dans la norme juridique. Il a estimé difficile de préjuger de l'évolution future des dépenses de fonctionnement mais il s'est déclaré confiant sur la protection apportée par la loi de 2007 qui doit empêcher toute « confusion des genres ». Il a noté que les contributions demandées aux collectivités territoriales représentaient moins de 5 % de leurs recettes de taxe professionnelle et il a affirmé que la contribution de 70 millions d'euros versée par l'EPAD à l'établissement public de gestion, l'était pour « solde de tout compte ».