a estimé que la promotion de l'offre de travail à destination des détenus était prioritaire par rapport à la question du recours au contrat de travail. Il a également fait valoir qu'il conviendrait, à ses yeux, à partir du moment où les détenus seraient soumis à une obligation d'activité, d'« inverser la charge de la preuve » et de demander à l'administration, et non au détenu, de s'expliquer sur les motifs pour lesquels il ne serait pas proposé d'activité à ce dernier.