a rappelé que les textes communautaires que le projet de loi transposait s'inspiraient des dispositifs prévus pour la société européenne qui avaient été transcrits en droit français à l'initiative du Sénat dans le cadre de la discussion de la loi du 26 juillet 2005 pour la confiance et la modernisation de l'économie. Il a souligné que ces textes prévoyaient, outre la constitution de structures juridiques spécifiques pour les entreprises, des régimes d'implication des travailleurs particulièrement complexes à mettre en oeuvre.