a appelé à faire preuve de grande prudence dans l'analyse de la destination de certaines subventions et à replacer l'aide française dans un contexte de contreparties diplomatiques dont le Parlement n'a pas nécessairement connaissance. De même, certains apports de la France sont peu médiatisés ou comptabilisés, tels que la coopération décentralisée, le temps consacré par les professeurs hospitaliers universitaires au soutien des pays d'Afrique, ou les actions du corps enseignant, qui peuvent contribuer à atténuer la perte d'influence de la France. M. Joël Bourdin a partagé ce constat, notamment dans le cas du Maroc.