a partagé ce souhait qu'un certain nombre de questions puissent être abordées à l'occasion du débat en séance publique. Elle a relevé que la féminisation de la profession de médecin pouvait partiellement expliquer la désertification médicale dans certaines régions rurales.
Puis elle a évoqué les stratégies de contournement du concours de fin de première année adoptées par un certain nombre d'étudiants qui choisissent de poursuivre une ou deux années d'études en Roumanie avant de repasser le concours en France.
Enfin, elle a regretté que les exigences imposées aux étudiants de première année soient sans rapport avec les qualités qui devront être les leurs dans l'exercice de leur métier.