a insisté sur la nécessité d'élargir le débat avec les ministres et personnalités concernées, les cloisonnements entre formations et l'insuffisance des passerelles posant problème. Il a relevé que l'examen à venir d'une nouvelle loi sur la bioéthique pourrait donner l'opportunité de réfléchir à l'insuffisante formation des futurs professionnels de santé s'agissant des questions d'éthique et des besoins de notre société dans ce domaine.