a souligné l'originalité du système des « community colleges », estimant que, d'une façon générale, le système américain était soucieux de donner une nouvelle chance aux jeunes en difficulté et de permettre la reprise d'études tout au long de la vie.
Il a reconnu que la conduite de notre politique culturelle à l'étranger, qui s'articule entre l'ambassadeur de France et le conseiller culturel, le tout sous la tutelle de la Direction générale de la coopération internationale et du développement, aboutissait à une construction plus complexe que celle de la Grande-Bretagne ou de l'Allemagne, et pouvait déboucher sur des problèmes récurrents, auxquels on ne pouvait remédier qu'en définissant une orientation politique claire.