a suggéré que ce projet soit replacé dans le cadre de la politique de la ville, qu'il conviendrait de développer à nouveau, avec des moyens supérieurs et en articulant les actions des différents acteurs (ministère de l'éducation nationale, collectivités territoriales, associations locales, jeunes susceptibles de bénéficier du service national civil...). Il a estimé que face à l'importante demande exprimée sur le terrain, il fallait réaffirmer une volonté forte d'avancer dans ce sens, ce qui posait la question délicate de la déconcentration et de la décentralisation des politiques de l'Etat, ainsi que celle des moyens. A cet égard, il a jugé nécessaire l'identification d'une ligne budgétaire, facilement mobilisable, dédiée à cette politique. Un tel projet serait de nature à faire sortir les jeunes de leur « ghetto ».