Après avoir fait part de « l'élévation de son niveau d'incertitude » après l'intervention de M. Claude Allègre et indiqué que cela ne facilitait pas la recherche de solutions politiques, M. Charles Josselin a relevé qu'on observait depuis quelques années une accélération très importante de la consommation de matières et s'est interrogé sur la possibilité de poursuivre un tel processus. Estimant cruciale la question de l'eau, il a jugé qu'il serait difficile de convaincre les services chargés de l'environnement du bien-fondé du lancement d'un programme de travaux publics, concernant notamment le dragage des fleuves.