a souligné que le problème soulevé était complexe et a observé, à titre d'exemple, que l'oxyde de souffre, dont les émissions ont diminué en Europe, est un refroidissant de l'atmosphère et que sa diminution pourrait donc contribuer au réchauffement. Il a déploré l'inertie actuelle et insisté sur l'urgence à agir sur de nombreux problèmes tels que les glissements de terrain, les fleuves, la réduction des émissions de gaz carbonique, la protection de la biodiversité. A ce propos, il a estimé que les moyens financiers mobilisés pour réintroduire l'ours dans les Pyrénées pourraient opportunément être utilisés autrement, par exemple pour remettre des écrevisses dans les rivières.