s'agissant des personnels, a considéré qu'ils avaient une véritable implication affective dans la cause que représentait son organisme. Il n'a pas contesté le constat de désenchantement formulé par le rapporteur spécial, qui s'expliquait notamment par la mise en oeuvre d'un plan de licenciement économique en 2007 concernant 10 personnes, soit 7,5 % des effectifs, malheureusement incontournable pour assurer la pérennité de l'IMA. Il a reconnu que la pyramide des âges présentait des défauts, puisque l'ensemble de l'encadrement allait partir à la retraite à l'horizon de trois ou quatre ans. Il a indiqué avoir pris l'engagement de ne pas procéder à un second plan de licenciement et de réduire la masse salariale par le recours à des départs volontaires. Il a précisé qu'une provision de 1,7 million d'euros avait été constituée à cette fin et qu'une concertation avait été engagée avec les partenaires syndicaux et le comité d'entreprise dans le cadre d'un « plan de sauvegarde ».