a indiqué qu'il lui apparaissait difficile d'obtenir une contribution annuelle des pays arabes et qu'il fallait privilégier d'une manière pragmatique un financement par projet. Il a indiqué que les pays arabes étaient entrés ainsi dans une logique de financement d'opérations promotionnelles, dédiées à leur pays, ce qui correspondait de la part de l'IMA à une politique de location d'espaces, complémentaire de l'organisation des expositions patrimoniales. Il a reconnu un déséquilibre entre Maghreb et Etats du Golfe, qui s'expliquait par des raisons historiques et géographiques, et qu'il s'efforçait de corriger.