a souligné que les vaccins étaient arrivés tardivement et que la mise en place de la vaccination, tant pour les professionnels de santé que pour la population générale, avait été plus difficile que prévu. Ainsi par exemple, l'envoi des convocations avait été imparfait et les hôpitaux avaient eux-mêmes convoqué, pour les vacciner, certaines personnes à risque, comme les patients atteints du VIH.
Il ne faut pas non plus minimiser le poids de la désinformation propagée au sein de l'opinion publique et qui tendait à remettre en cause l'efficacité et l'innocuité des vaccins. Ceci a certainement empêché la France d'atteindre un taux de vaccination plus élevé de la population, à l'instar d'autres pays.