a expliqué que l'InVS a modifié sa méthodologie de surveillance des cas de grippe au cours du temps, ce qui a suscité des interrogations au sein de la population. Il est en effet impossible, quand le nombre de cas de grippe devient trop important, de continuer à faire un relevé individuel, car tous les cas ne sont plus traités à l'hôpital ; on est alors passé à une observation de type populationnel au travers des réseaux GROG et Sentinelle qui s'appuient sur des médecins de ville. Les hôpitaux ont cependant continué à transmettre à leur tutelle, et à travers elle à l'InVS, les cas de grippe puis uniquement les cas graves, et ce au jour le jour.