a souligné que l'InVS dispose de moyens de surveillance des syndromes grippaux et de leur évolution. Ainsi, en septembre 2009, on a pu établir que les pathologies recensées étaient majoritairement des pseudo-grippes et comptaient peu d'infections par le virus H1N1. Quand le taux d'infections grippales a augmenté, il a été possible de préconiser la prise en charge systématique des personnes présentant des symptômes grippaux par un traitement antiviral. En effet, la probabilité qu'il s'agisse d'une grippe était suffisamment forte pour minimiser le risque d'erreur de diagnostic.