a rappelé que l'on ne savait pas comment allaient évoluer les choses. Lors des trois grandes pandémies du XXe siècle, la deuxième vague a été la plus sévère, ce que l'on n'a alors pu apprécier qu'a posteriori. La nouveauté de la situation, c'est que pour la grippe H1N1, on se fondait sur l'information disponible en temps réel. Quand le ministère a envisagé la vaccination de tous les Français, les experts pouvaient être en phase avec cette position.