a observé qu'il était facile de refaire l'histoire après coup. Il a rappelé qu'il était de ceux qui demandaient à disposer de chiffres pour établir la gravité de l'épidémie, mais que l'inquiétude dominait au printemps 2009, dès lors qu'on savait qu'une souche proche de celle de la grippe espagnole allait se répandre et que l'on a constaté l'apparition de formes graves de la maladie.