Le développement de la filière électrique française a reposé dès l'origine sur des choix technologiques. A l'heure où les délais de livraison de l'EPR s'allongent, où les coûts s'alourdissent, comment envisagez-vous l'avenir ? Ne faudrait-il pas diversifier notre offre ?
Donnerez-vous la priorité aux investissements internationaux ou au renouvellement du parc nucléaire français ? Vous avez parlé d' « alliances modulables » : s'agit-il de conclure des « partenariats à la carte » tantôt avec des constructeurs français ou européens, tantôt avec des constructeurs étrangers, par exemple chinois ou coréens, au détriment de la filière française ?