Je partage le sentiment exprimé par mes collègues Richard Yung et Christophe-André Frassa et je suis prêt à reprendre le sous-amendement. Il est nécessaire de préciser que ces établissements français d'enseignement scolaire à l'étranger seront concernés. Si ces établissements étaient gérés par l'éducation nationale il n'y aurait pas de problèmes et en plus il y aurait des financements. Or tel n'est pas le cas. Le ministère des affaires étrangères est compétent en la matière et il considère que si les établissements français d'enseignement scolaire à l'étranger ne sont pas directement visés par un texte alors celui-ci ne s'applique pas à eux.