s'est inquiété qu'à l'occasion d'une « banale erreur humaine », les Etats puissent être dessaisis de leurs compétences en matière d'électricité, pourtant fondamentales.
En réponse, M. Philippe de Ladoucette, président de la CRE, a précisé qu'il ne s'agissait que de définir, au niveau européen, des règles de fonctionnement dont la France s'était déjà dotées, insistant une nouvelle fois sur la nécessité de mieux coordonner les GRT européens. Puis, après avoir estimé que les procédures de certains gestionnaires de réseaux allemands n'étaient pas toutes satisfaisantes, il a indiqué que ce seraient ces entreprises, et non les Etats, qui se trouveraient dessaisies de certaines de leurs prérogatives si une réglementation devait être adoptée.